Morts ou vifs – Pour une écologie des arts vivants
Julie Sermon analyse les résonances des problématiques écologiques dans le champ des arts vivants
Robinson Jeffers « Le Dieu Sauvage du Monde »
Recueil de poèmes évoquant la beauté de la côte californienne et la défiance du poète vis-a-vis de la société de consommation
Robinson Jeffers
LE DIEU SAUVAGE DU MONDE
Anthologie poétique
Préface de Kenneth White
120 pages, 15 €
Parution mai 2015
ISBN : 978-2-918490-463
« Qu’est-ce qui fait qu’à Big Sur, les problèmes prennent un tour si dramatique ?
Si l’âme devait se choisir un lieu pour mettre en scène ses agonies, ce serait celui-ci. Ici, on se sent exposé – non seulement aux éléments, mais au regard de Dieu. Nu, vulnérable, placé dans un décor écrasant de puissance et de majesté.
Les récits de Jeffers sont empreints de tragédie grecque parce qu’il a redécouvert ici l’atmosphère des dieux et des destins qui a obsédé les Grecs anciens. La lumière est presque aussi électrique, les collines presque aussi dénudées, le peuple presque aussi autonome que dans la Grèce antique.
Il fallait une voix pour faire entendre le drame secret des pionniers rugueux qui se sont installés ici. Jeffers est cette voix. »
Henry Miller, Big Sur et les oranges de Jérôme Bosch
Poète du rivage californien, adulé et maudit, Robinson Jeffers (1887-1962) est une voix poétique incontournable du XXe siècle. Le Dieu sauvage du monde est la première anthologie qui lui est consacrée en français.
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